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![]() Formation > L’enseignement universitaire > Les différentes filières > Sciences économiques et de gestionLes domaines des sciences économiques et de gestion
Ce programme de premier cycle a pour but de donner aux étudiants une formation de base aux différentes disciplines des sciences de gestion et une formation solide en sciences économiques ainsi que dans les disciplines connexes que sont le droit et les méthodes quantitatives.
L’économie est une science humaine en prise sur la réalité sociale, sur les faits économiques et sur les institutions qui régissent les rapports entre individus dans leurs comportements économiques. L’économiste est donc interpellé pour sa capacité à comprendre et interpréter les faits économiques dans leur cadre institutionnel et celle de les traduire dans le langage d’une méthode rigoureuse. La formation en sciences économiques vise à donner aux étudiants la capacité de comprendre et d’analyser le fonctionnement du monde économique pour agir sur celui-ci en connaissance de cause, en s’efforçant de promouvoir tant la maîtrise des méthodes et techniques que les analyses de contenu et l’ouverture aux problèmes économiques et sociaux contemporains.
L’économétrie est la branche de la statistique appliquée à l’économie. Ce terme désigne donc l’ensemble des techniques destinées à mesurer des grandeurs économiques. Les méthodes de l’économétrie sont très variées : l’algèbre, l’analyse, la théorie des jeux (c’est-à-dire l’approche mathématique de problèmes de stratégie où on étudie les situations où les choix de deux protagonistes – ou davantage – ont des conséquences pour l’un comme pour l’autre), la probabilité, la statistique descriptive (méthode qui regroupe les nombreuses techniques utilisées pour décrire un ensemble relativement important de données), l’analyse des données, la statistique mathématique, les modèles de régression linéaire classiques, etc. Les tests économétriques ont apporté un éclairage intéressant à des théories économiques dont étaient tirées certaines politiques économiques. Concernant les applications, l’économétrie va trouver des débouchés dans la finance et dans les politiques économiques, budgétaires et financières. Le modèle développé par Black et Scholes par exemple, permet de calculer la valeur des options.
La création de richesses dans une société et le niveau de vie des femmes et des hommes qui en font partie dépendent de la qualité de ses entreprises. La formation des étudiants a comme objectif de développer chez eux les qualifications qui leur permettront d’assumer des fonctions de responsabilité dans des entreprises ou dans les organisations dont ils feront partie. Les programmes de formation font appel à plusieurs disciplines. Les sciences de base (économie, sociologie, droit, psychologie, mathématiques, statistique, etc.) se conjuguent, de manière théorique et expérimentale, pour élaborer les sciences de gestion (comptabilité, recherche opérationnelle, finance, ressources humaines, marketing, logistique, gestion internationale, stratégie, etc.).
Pluridisciplinaire à l’extrême, l’ingénieur de gestion est particulièrement bien côté sur le marché du travail. L’ingénieur de gestion est un gestionnaire dans le sens le plus large du terme, capable, grâce à une approche pluridisciplinaire, de faire la synthèse de contraintes de nature technique d’une part et économique d’autre part. Ce manager, décideur-né, trouve son utilité au sein d’innombrables secteurs d’activités professionnelles.
Le monde des arts et de la culture doit faire face à l’importance croissante des enjeux en termes de gestion. L’objectif du master en Gestion culturelle est de préparer les étudiants à gérer en toute autonomie une structure ou un projet relevant des domaines de l’art ou de la culture en général, mais aussi de leur permettre de s’intégrer dans une institution plus large pour y exercer des fonctions à responsabilités. Dans la même rubrique
Masters complémentaires
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