Les conditions d’admission en HE

Pour l’enseignement supérieur organisé en Hautes Écoles, les conditions d’admission sont fixées par le décret du 5 août 1995 fixant l’organisation générale de l’enseignement supérieur en Hautes Écoles.

Conditions générales

En règle générale, le porteur d’un certificat d’enseignement secondaire supérieur homologué (CESS) a accès à l’enseignement supérieur.
Les diplômes ou certificats d’études étrangers, reconnus équivalents au CESS, permettent également l’accès à l’enseignement supérieur.
Remarque : outre le respect des conditions d’admission à l’enseignement supérieur, l’inscription dans une Haute École est subordonnée à d’autres conditions (paiement d’un minerval, d’un droit d’inscription spécifique pour les étudiants non UE).
Attention : une inscription n’est possible que si l’étudiant apporte la preuve d’une connaissance suffisante de la langue française, à l’exception des Ecoles supérieures des Arts où cette disposition n’est pas requise.

Conditions particulières

Les études d’infirmier(ère) gradué(e) sont ouvertes aux étudiants titulaires du titre d’infirmier(ère) breveté(e).

Examens d’entrée ou d’admission

Les étudiants qui ne sont titulaires d’aucun des titres autorisant l’accès à l’enseignement supérieur peuvent néanmoins entrer dans une Haute École grâce à la réussite d’un des examens d’admission organisés par les établissements d’enseignement supérieur ou par un jury de la Communauté française.
Particularités propres à l’enseignement supérieur paramédical et social organisé en Hautes Écoles :
– Un examen d’admission, spécifique à l’enseignement supérieur de type court paramédical (infirmier, logopède) est organisé devant un jury de la Communauté française.
– Les études d’assistant social et de conseiller social sont ouvertes aux étudiants ayant réussi un examen d’entrée se déroulant dans les Hautes Écoles qui organisent ces études.